Plus tôt cette semaine, j’ai eu la chance d’assister à The Public Voice, à Madrid, une conférence où les groupes de la société civile font part de leurs travaux et échangent leurs points de vue sur d’importants enjeux relatifs à la protection de la vie privée.
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« Le théâtre de la sécurité ». Le concept est facile à saisir. Les membres du grand public se sentiront plus en sécurité s’il existe des signes apparents que leur gouvernement prend des mesures pour les protéger de menaces réelles et imaginaires. C’est surtout vrai si les menaces en question sont nouvelles — les attaques du 11 septembre ont marqué l’arrivée d’une nouvelle pièce montée en Amérique du Nord, formée de la surveillance omniprésente, de la vérification à répétition de l’identité technologique et personnelle, et d’interactions plus fréquentes entre le public et les agents de sécurité d’organismes publics et privés.
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Que se serait-il passé si chaque gouvernement avait eu la chance de réécrire l’histoire, de remplacer les discours peu flatteurs et de faire valoir ses soi-disant forces? Je sais, ce n’est malheureusement pas une question rhétorique.
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Aujourd’hui, j’ai passé la journée dans l’auditoire à la Computers Freedom & Privacy Conference de 2009 (wiki, fil Twitter, blogue, diffusion ustream en direct). J’ai entendu plusieurs conférenciers tenter de discuter de la manière dont la protection de la vie privée est liée à des concepts comme la sécurité nationale, la surveillance, la sécurité des renseignements et les applications du Web 2.0. Au cœur de chaque discussion : un débat continu (sans fin?). La protection de la vie privée se fait-elle au détriment d’un autre élément X?
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Récemment, un journaliste du magazine Wired a tenté d’adopter un style de vie « conscient de l’emplacement », c’est-à-dire qu’il a tenté de profiter des avantages des capacités GPS de chaque outil électronique qu’il a pu se procurer, en reliant toutes ses activités au lieu où il se trouvait pour ensuite transmettre ces données à son réseau.
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En 2000, ce pirate informatique de 15 ans avait mis hors fonction certains des sites Web les plus visités : Amazon, eBay, CNN, Yahoo!. À ce moment, des rapports mentionnaient que le piratage avait causé des milliards de dollars de dommages à ces compagnies.
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Le 11 octobre dernier, dans 22 villes d’Europe, les citoyennes et les citoyens ont manifesté pour exprimer leurs préoccupations concernant ce qu’ils perçoivent comme une augmentation des sociétés de surveillance créées par les gouvernements. Le 11 octobre était la journée Freedom Not Fear – « La liberté, pas la peur » – organisée par le Groupe de travail allemand sur la conservation des données.
Rien qu’à Berlin, plus de 15 000 manifestants se sont rassemblés dans le cadre d’un rallye qui a pris fin à la Porte de Brandebourg (les organisateurs prétendent que 15 000 est le nombre à la baisse avancé par les autorités, et que le nombre réel serait plus près de 50 000). Des actions pacifiques et créatives ont eu lieu partout en Europe, y compris des performances artistiques à Vienne, des lectures publiques à Rome et, à Londres, un collage réalisé à partir de photos provenant d’équipement et de tactiques de surveillance en cours au Royaume-Uni.
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Les Canadiennes et les Canadiens se font souvent servir l’argument voulant qu’une augmentation de la surveillance vidéo est nécessaire pour garantir leur sécurité personnelle ou pour faire échec au vandalisme, aux imprudences au volant et aux crimes avec violence dans leur quartier, leur collectivité ou leur ville. Une fois qu’une nouvelle technique ou technologie de surveillance est mise en oeuvre, il devient difficile de la faire désactiver – et pour nous, en tant que membres de la société, voilà un autre moment privé de perdu.
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La hausse du coût des voyages aériens pourrait être le dernier de vos soucis lorsque vous voyagerez par avion à l’avenir.
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La réponse est oui, croit l’auteur d’un nouvel article sur la surveillance paru dans The Walrus. Hal Niedzviecki affirme qu’alors que l’idée d’être surveillé nous dérangeait auparavant (pensez à 1984 de George Orwell), les caméras et autres techniques de surveillance sont à ce point répandues aujourd’hui qu’on ne les remarque plus. Il ajoute que quand on les remarque, on n’y porte plus attention (à preuve : lorsqu’on a annoncé l’installation de 10 000 caméras dans les métros, tramways et autobus de Toronto, Niedzviecki affirme que les citoyens « ont haussé les épaules et ont repris leur train-train »).
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